Le Burn-out n'est pas le fruit du hasard. C’est souvent une accumulation de facteurs qui, lentement, mais sûrement, vous épuisent et vous poussent au bord du gouffre. Lors de mon propre Burn-out, plusieurs éléments se sont entremêlés pour créer un cocktail toxique. Il est vrai que le Burn-out n’est jamais le fruit d’une seule cause. Il résulte souvent d’un mélange complexe entre des facteurs internes, liés à notre personnalité et à notre manière d’appréhender le travail, et des facteurs externes, dus à l’environnement professionnel. Dans cet article, je souhaite partager mon expérience pour vous donner une vision plus globale des raisons qui m’ont mené à cette situation.
Mon but n'est pas seulement de raconter mon histoire, mais aussi d’ouvrir un dialogue sur ces facteurs invisibles mais puissants qui peuvent mener à l’épuisement professionnel. Il n’est pas non plus question ici de jeter la faute sur les employeurs. Il s'agit plutôt de comprendre que le Burn-out est rarement le résultat d'une cause unique, mais le fruit d'un enchevêtrement de facteurs individuels et organisationnels qui, accumulés, finissent par peser lourdement sur les épaules de ceux qui les subissent.
Les facteurs externes : Lorsque l’environnement professionnel est en cause
Une charge de travail de plus en plus lourde
L’une des premières causes qui a contribué à mon Burn-out était, sans surprise, la surcharge de travail. Au fil des mois, la quantité de tâches à accomplir n’a cessé d'augmenter. Ce phénomène, bien qu’insidieux, a été progressivement renforcé par l'absence de limites claires et l’attente implicite de toujours en faire plus. Au départ, je me sentais capable de tout gérer. Mais à un moment donné, j’ai perdu toute visibilité sur l’ensemble de mes missions. Je jonglais entre plusieurs projets à la fois, et plus je m'efforçais d’être "productive", plus la pression augmentait.

Ce que j’ai compris avec du recul, c’est que cette surcharge de travail n'était pas seulement une question de quantité, mais de qualité. Le stress constant et le manque de temps pour souffler ont fait en sorte que je ne pouvais plus prendre de recul sur ce que je faisais. J’étais constamment en mode "urgence", sans véritablement me donner la possibilité de respirer ou de réévaluer mes priorités.
Une absence de soutien : le sentiment d’être « seule contre tous »

Un autre facteur qui a contribué à mon Burn-out a été le manque criant de soutien dans mon travail quotidien. J’étais submergée par une liste interminable de tâches et de responsabilités, souvent sans les ressources nécessaires pour y faire face. Chaque journée ressemblait à un combat pour garder la tête hors de l’eau, mais malgré mes appels à l’aide, je me sentais isolée et livrée à moi-même. Je devais être « au four et au moulin » en permanence.
Avec le recul, ce manque de soutien m’a non seulement épuisée physiquement, mais aussi moralement. Il m’a enfermée dans une spirale de solitude, où chaque tâche accomplie semblait n’être qu’une goutte dans un océan, et où toute tentative de soulagement paraissait vaine.
L’absence d'alignement avec mes valeurs professionnelles
Au fil du temps, un autre facteur a commencé à peser lourdement sur moi : l’absence d’alignement entre mes missions et mes valeurs professionnelles. Quand on s'engage dans un travail, on le fait souvent avec un certain idéal, un ensemble de valeurs qui nous pousse à donner le meilleur de nous-mêmes. Mais plus le temps passait, plus je ressentais une profonde déconnexion entre ce que je faisais au quotidien et ce que je croyais profondément.
J’avais de plus en plus de mal à appliquer certaines directives qui étaient contraires à mes valeurs professionnelles, comme si chaque décision que je devais prendre en opposition avec mes convictions érodait peu à peu ma confiance en ce que je faisais. Ces instructions semblaient souvent privilégier des résultats immédiats au détriment de l’éthique ou du bien-être des équipes, ce qui me plongeait dans un conflit intérieur constant. Ce sentiment d’agir à l’encontre de ce en quoi je croyais a commencé à affecter non seulement ma motivation, mais aussi mon sentiment d’accomplissement et de légitimité dans mon rôle.

Je me retrouvais à accomplir des tâches qui, au fond, n’avaient plus de sens pour moi. Je me sentais de plus en plus déconnectée de l'impact de mon travail. Ce que j'avais choisi de faire n’était plus en accord avec ce que je voulais réellement contribuer au monde. Mon travail devenait une sorte de routine vide de sens, et chaque journée passée à accomplir des tâches qui n'étaient pas en phase avec mes valeurs me laissait un goût amer.
Je me suis rendu compte que j’étais dans une situation où mon esprit et mon cœur n’étaient plus alignés avec les exigences de mon poste. Et cela a eu un effet dévastateur sur ma motivation et ma satisfaction au travail. C’est là que j'ai compris qu'il ne s'agissait pas seulement d'un problème de surcharge, mais d'un profond manque de sens et d’alignement avec mes valeurs.
Les facteurs internes : Lorsque notre personnalité entre en jeu
Certaines de mes caractéristiques personnelles ont indéniablement joué un rôle dans le développement de ce Burn-out. Laissez-moi vous les expliquer.
Le perfectionnisme : un moteur devenu un fardeau
Depuis aussi longtemps que je me souvienne, j’ai toujours été animée par le désir de bien faire. Ce trait de caractère m’a souvent été utile : il m’a permis de me dépasser, de livrer des travaux de qualité et de me sentir fière de mes réalisations. Pourtant, avec le temps, ce perfectionnisme s’est transformé en un poids, voire en une pression constante que je m’imposais à moi-même.
Pour moi, "bien faire" ne signifiait pas seulement répondre aux attentes, mais les dépasser systématiquement. J’avais tendance à me fixer des objectifs bien au-delà de ce qui était demandé, même si personne ne m’en faisait la demande explicite. Par exemple, sur un projet où un livrable "correct" aurait suffi, je me poussais à ajouter des détails supplémentaires, à vérifier et revérifier chaque élément, jusqu’à épuisement.

Ce besoin de perfection était alimenté par une peur sous-jacente : celle de l’échec ou du jugement. Je me disais que si je commettais une erreur, cela remettrait en question mes compétences et ma légitimité sur mon poste. Alors, je redoublais d’efforts, cherchant à combler cette insécurité par une productivité sans faille.
Le problème avec le perfectionnisme, c’est qu’il fixe des standards irréalistes, souvent impossibles à atteindre. Même lorsque je parvenais à produire un travail de qualité, je ne me permettais pas de savourer ce succès. Au contraire, je me focalisais sur ce qui aurait pu être mieux, ou sur ce que je n’avais pas eu le temps de faire. Cette insatisfaction permanente créait un stress constant, un sentiment d’urgence qui ne disparaissait jamais.
Avec le temps, ce perfectionnisme m’a conduit à ignorer mes propres limites. Je ne m’autorisais pas à ralentir, à déléguer ou même à demander de l’aide, persuadée que je devais tout faire par moi-même pour garantir un résultat "parfait". Ce mode de fonctionnement a eu un coût énorme : des heures interminables de travail, des nuits écourtées et une fatigue accumulée qui s’est finalement transformée en épuisement.
Aujourd’hui, avec du recul, je réalise que mon perfectionnisme était autant un moteur qu’un saboteur. Il m’a poussée à donner le meilleur de moi-même, mais il a aussi nourri une pression auto-infligée qui m’a isolée et épuisée Apprendre à lâcher prise et à accepter que tout ne peut pas être parfait est devenu un défi essentiel pour retrouver un équilibre.
La difficulté à poser des limites : le cercle vicieux de sur-engagement
Dire "oui" est une habitude qui m’a souvent semblé naturelle, presque instinctive. Je voulais bien faire, montrer ma disponibilité et prouver que j’étais une personne sur laquelle on pouvait compter. Pourtant, cette incapacité à poser des limites a peu à peu creusé un fossé entre mes intentions et mes capacités réelles.
Chaque fois qu’on me demandait de prendre en charge une nouvelle tâche ou un nouveau projet, ma première réaction était toujours positive, même si, intérieurement, je ressentais déjà un stress grandissant. Dire "oui" était une manière pour moi d’éviter la confrontation ou le risque de décevoir mes collègues ou ma hiérarchie. J’étais profondément animée par mon driver intérieur : « fais plaisir ». Je pensais qu’en acceptant tout, je projetais l’image de quelqu’un de compétent, fiable et investi.

Mais cette habitude avait un revers. En accumulant les engagements, je me retrouvais régulièrement dépassée par la charge de travail. Mon emploi du temps devenait ingérable, les échéances s’entassaient, et ma productivité diminuait. Plutôt que de lever la main pour signaler que j’étais submergée, je redoublais d’efforts, travaillant tard le soir ou les week-ends pour essayer de tout faire entrer dans les cases.
Cette difficulté à poser des limites ne venait pas seulement d’un manque d’assertivité, mais aussi d’une peur profonde : celle de paraître insuffisante ou incapable. Refuser une tâche, c’était pour moi risquer d’être perçue comme non professionnelle ou, pire, de perdre la confiance des autres. Ce besoin d’être constamment à la hauteur m’a conduit à ignorer mes propres besoins, à sacrifier mon équilibre personnel pour répondre aux attentes – parfois implicites – de mon environnement de travail.
Avec le temps, ce comportement a créé un cercle vicieux. Plus j’acceptais de responsabilités, plus on venait me demander d’en faire encore davantage, convaincus que j’étais capable de tout gérer. Plus la charge augmentait, plus ma peur de dire 'non' s’intensifiait, car je redoutais que le moindre refus soit perçu comme un signe de faiblesse. Cela illustre parfaitement comment mon driver « sois fort » a fini par basculer dans l’excès
Au final, cette incapacité à poser des limites m’a poussée à un point de rupture. J’avais oublié que dire "non" n’était pas un signe d’échec, mais un acte de préservation. Avec le recul, je réalise aujourd’hui l’importance d’apprendre à évaluer mes capacités réelles et à m’autoriser à préserver mon espace personnel, sans culpabilité.
Les signaux d’alerte : ignorer l’évidence au détriment de soi-même
Mon corps et mon esprit m’avaient pourtant prévenu. La fatigue chronique, les sautes d’humeur, les troubles du sommeil, les diverses douleurs… Autant de signaux d’alerte que je percevais, mais choisissais d’ignorer. Je mettais ces symptômes sur le compte d’une période passagère, en me disant que "cela allait passer". Pourtant, ces signes étaient bien plus qu’un simple coup de fatigue : ils étaient des avertissements que je refusais de prendre au sérieux.
Cette incapacité à écouter ces messages venait d’un mélange de déni et de pression auto-infligée. Je me disais que ralentir était une forme de faiblesse, que prendre soin de moi reviendrait à abandonner mes responsabilités. Alors, au lieu de m’arrêter et de réfléchir, je m’enfonçais encore davantage dans ce rythme effréné, convaincue qu’un effort supplémentaire suffirait à me remettre sur les rails.

Les conséquences ne se sont pas fait attendre. Mon irritabilité augmentait, affectant mes relations professionnelles et personnelles. Le manque de sommeil me rendait incapable de me concentrer pleinement, ce qui ralentissait encore ma productivité et renforçait mon stress. Je me trouvais prise dans un cercle vicieux : plus je m’épuisais, moins j’étais efficace, et plus je compensais par des heures supplémentaires et des sacrifices personnels.
Avec le recul, je réalise que j’aurais pu reconnaître ces signaux bien plus tôt si j’avais pris le temps de m’arrêter et d’écouter mon corps. Mais, à l’époque, je ne savais pas comment m’accorder cette permission. Mon besoin de prouver ma valeur et de répondre aux attentes – les miennes comme celles des autres – m’aveuglait complètement face à ces indicateurs de détresse.
Ignorer ces signaux d’alerte m’a conduite à franchir des limites que je n’aurais jamais dû atteindre. Aujourd’hui, je comprends que ces symptômes n’étaient pas des obstacles à ignorer, mais des messages à écouter, des appels à ralentir pour préserver ma santé et mon équilibre. Savoir reconnaître ces signes est une leçon essentielle que j’aurais aimé apprendre plus tôt.
Un stress continu, sans véritable répit
Le stress est devenu une présence permanente dans ma vie. Chaque matin, je me levais en pensant à la montagne de tâches qui m’attendait. Chaque minute de ma journée était programmée, chaque rencontre ou réunion devenait une source d'anxiété. Même lorsque je rentrais chez moi, le stress continuait de me suivre. Le moindre bruit, le moindre message professionnel, et je retournais dans cet état de tension. Le problème, c’est que je croyais que tout cela faisait partie de la vie professionnelle. Je pensais qu’une personne "responsable" devait être capable de gérer ce stress sans flancher.

Je n'avais pas conscience que ce stress permanent finissait par user mes ressources, mon énergie, et ma motivation. Le repos ne suffisait plus à me ressourcer. J’avais l’impression que chaque nuit de sommeil était juste un répit temporaire, un simple "effet de pause" avant de replonger dans le tourbillon du travail. Je me sentais épuisée, mais l’idée même de m’arrêter me paraissait insurmontable.
La perte de sens : le point de non-retour

L’une des causes les plus subtiles, mais les plus destructrices, a été la perte de sens dans mon travail. Lorsque le stress et la surcharge deviennent permanents, et que les tâches que l’on accomplit ne résonnent plus avec nos valeurs, il devient difficile de trouver une raison d’avancer. Le sentiment d'accomplissement disparaît. Chaque jour semble identique, et le projet global de ma vie professionnelle perd son objectif.
Je me suis retrouvée à me demander : "Pourquoi je fais tout cela ?". Cette question est devenue obsédante. Mon travail ne m’apportait plus de satisfaction ni d’épanouissement, et les résultats que j’obtenais ne semblaient plus avoir d’impact réel. La passion s’était éteinte petit à petit, laissant place à une routine vide. À ce moment-là, le Burn-out n’était plus qu’une question de temps.
Quand les facteurs internes et externes se cumulent : un engrenage destructeur
C’est dans l’entrelacement de ces facteurs internes et externes que tout s’est joué. Mon perfectionnisme, cette quête constante de l’excellence, me poussait à accepter des charges de travail démesurées, sans jamais oser dire "non". Pourtant, face à cette surcharge, l’environnement professionnel ne m’apportait ni les ressources ni le soutien nécessaire pour m’aider à surmonter ces défis. Ce déséquilibre a rapidement créé un cercle vicieux : plus je me surpassais pour compenser l’absence de soutien ou d’organisation, plus mes efforts semblaient devenir la norme, et moins il était question de réduire la pression. À chaque nouvelle mission, je redoublais d’efforts, convaincue que c’était la seule solution pour maintenir le cap, mais cette dynamique m’a lentement conduite à l’épuisement.
L’absence de solutions viables, qu’elles viennent de moi ou de l’entreprise, a amplifié mon sentiment d’isolement. Je me retrouvais coincée dans une spirale où mes propres exigences personnelles alimentaient un système professionnel qui ne reconnaissait pas mes limites, ni mes besoins. Je ne savais plus si je devais en vouloir à moi-même pour ma rigueur excessive ou à l’entreprise pour son incapacité à m’épauler.
Finalement, ce mélange explosif de pressions internes et externes m’a laissée sans énergie, à bout de souffle. J’avais atteint un point de rupture, incapable de continuer à avancer dans ce schéma insoutenable. Avec le recul, je vois combien ces deux forces se sont nourries l’une de l’autre, créant une dynamique où aucune issue ne semblait possible tant que je ne m’autorisais pas à changer les règles du jeu.
Pourquoi en parler aujourd’hui ?
Si je choisis de partager mon expérience, c’est avant tout pour aider d’autres personnes à reconnaître les signes avant-coureurs d’un Burn-out et à agir avant qu’il ne soit trop tard. Le Burn-out n’est pas un simple coup de fatigue ; c’est une alerte profonde, le résultat d’un déséquilibre durable entre ce que l’on donne et ce que l’on reçoit, entre nos besoins et ce que l’on s’autorise à leur accorder.

En racontant mon histoire, j’espère montrer qu’il est possible de sortir de cet engrenage, mais surtout d’en prévenir l’apparition. La solution, bien qu’elle soit différente pour chacun, repose souvent sur une double démarche : d’une part, travailler sur soi-même en apprenant à poser des limites, à écouter ses besoins et à accepter que tout ne puisse pas être parfait. D’autre part, il est crucial d’interagir avec son environnement professionnel, en dialoguant avec l’entreprise, en sollicitant du soutien, ou, si cela s’avère nécessaire, en cherchant un cadre de travail plus respectueux de notre équilibre.
Parler de Burn-out, c’est aussi lever un tabou. Trop souvent, nous nous sentons seuls face à ces difficultés, persuadés qu’elles reflètent une faiblesse personnelle. En mettant des mots sur ce que j’ai vécu, je souhaite non seulement sensibiliser ceux qui pourraient être sur cette voie, mais aussi ouvrir la porte à une réflexion plus large sur la manière dont nous envisageons le travail et notre rapport à celui-ci.
En conclusion, les causes de mon Burn-out ne sont pas isolées. Elles sont le reflet d’une accumulation de facteurs qui se sont intensifiés avec le temps. La surcharge de travail, le stress constant, l’absence de connexion avec mes valeurs, et la perte de sens ont fini par créer un environnement où il devenait impossible de rester en bonne santé mentale et physique.
Si vous vous reconnaissez dans certaines de ces causes, sachez que vous n'êtes pas seul(e). Prendre conscience de ces facteurs est déjà une première étape vers la guérison. Il est possible de se relever, de redéfinir ses priorités et de reconstruire une vie professionnelle plus alignée avec ses valeurs.
Il est vivement recommandé de se faire accompagner dans cette étape par un professionnel compétent. À travers mes accompagnements en coaching, je m’engage à guider celles et ceux qui souhaitent surmonter leur Burn-out, redécouvrir leurs forces, et construire une vie professionnelle en harmonie avec leurs aspirations profondes. Ensemble, nous travaillons à transformer cette épreuve en une opportunité de renouveau et de croissance. Mon objectif est de vous encourager à prendre soin de vous, à écouter les signaux que votre corps vous envoie, et à vous rappeler que la performance ne vaut rien sans bien-être.
Article rédigé par Camille Blanchez.

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Je suis Camille BLANCHEZ, fondatrice d'Un pas vers soi. Je suis consultante RH et coach professionnel certifié, spécialisé dans le mieux-être au travail. J'accompagne les entreprises et les particuliers à surmonter le stress, prévenir l'épuisement professionnel et réduire la souffrance au travail afin de retrouver du bien-être, de la sérénité et de l'épanouissement au quotidien.
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